Laine Phildar Kadisha, crochet n° 6,5
Depuis que la
frénésie m'a reprise récemment, je crochète à tout va. Je m'entraîne, je défais et je refais, bref je me prépare à me
lancer bientôt dans les
modèles japonais que je commence à collectionner.
C'est une activité qui n'offre que des avantages. Premièrement, elle est relaxante au plus haut point : la répétition du geste permet de libérer l'esprit. Deuxièmement, elle est satisfaisante :
créer quelque chose de ses mains, quel plaisir, et même si on est seul à le trouver beau !
Je me suis attaquée à une paire de mitaines pour commencer. Ce type de gants est très rapide à faire, on crochète un simple rectangle (largeur : le tour de la main, hauteur : du poignet au ras des
doigts), dont on coud les 2 bords en largeur, en laissant une partie non cousue pour passer le pouce.
Je suis passée à une autre paire de mitaines, qui se sont transformées en moufles, puis en gants finalement. J'ai pas mal tatonné, essayé et réessayé, mais on ne se lasse pas de tricoter cette
laine qui change de couleur en permanence, adieu la monotonie. Ce modèle m'a permis d'apprendre pas mal de choses, en particulier à faire des côtes.
Faciles et rapides à faire, j'ai déjà deux commandes pour le bonnet et la sacoche, je ne suis pas prête de me lancer dans les modèles japonais...