J'ai déjà parlé des
changements que Trevor a dû intégrer depuis notre arrivée ici, pour passer d'un environnement clos, à
l'intérieur duquel il faisait ce qu'il voulait, et de promenades débridées dans la campagne, à une vie citadine, un terrain ouvert, des routes, des chiens et des personnes qu'on croise.
Comme vous voyez, non seulement le pitou arrive à marcher sans courir ventre à terre et à ne plus attaquer tous les congénères qu'il croise, mais sur une simple injonction il marque l'arrêt aux
croisements, c'est pas beau ça ?
Il a quand même des compensations, quelques petites fenêtres de liberté, malgré les rappels à l'ordre de la rabat-joie de service :